En tout cas depuis, son pote de bistro Fabien Roussel lui suce la roue (et à la droite et l’extrême-droite) en affirmant que les gouvernements successifs avaient « transformé [les] frontières en passoires ». Et qu’il fallait être « plus ferme » pour davantage contrôler l’arrivée des travailleurs, des migrants, qui arrivent pour travailler en France.
En reprenant les mots et les antiennes de l’extrême-droite, ce type qui vient d’être réélu à la tête du PCF (« Il a une belle tête de vainqueur » !) achève de mettre à la poubelle ce qui reste de ce petit parti social-démocrate.
Si je n’y étais plus depuis janvier 2019, je le quitterai aujourd’hui. Parce que je suis communiste et que j’entends le rester.